Le sujet du moment

Mon premier sujet de réflexion tournait autour des actes de solidarités désintéressés. Des comportements humains de certaines personnes que j'appelle des anges. J'explique ma démarche dans les cafés 1, 2 et 3.

Mon deuxième sujet concernera mes aventures improbables à l'internationale.

N'hésitez pas à commenter, partager et donner votre avis.
Merci
Holly

mardi 7 juillet 2020

Tour d'Europe dernière étape : Londres

Nos valises se sont posée pour notre dernière étape à Londres.

Après le dépaysement des pays nordiques, ça nous a fait plaisir de retrouver un certain nombre de repères dans cette ville.

Elle ressemble beaucoup à Paris en termes de vie. Dés qu'on arrive à Londres, on voit tout de suite une effervescence et le temps se compresse.

Je vais donc conclure mes aventures par cette ville où on ne s'ennuie jamais. Une ville très anglaise mais également très européenne de par sa richesse culturelle, son mode de vie à mille à l'heure et ses "attractions" touristiques bourrées d'Histoire.

mercredi 17 juin 2020

Tour d'Europe étape 3 et 4 : 4 jours entre Stockholm et Oslo, un aperçu des pays scandinaves.

Après l'Europe de l'Est, nous posons nos valises pour 2 étapes nordiques.



D'abord, Stockholm, capitale qui possède autant de facettes que son archipel possède d'îles.

Puis Oslo, un tout petit saut en avion plus tard, très moderne et industrialisée qui renferme de jolies découvertes et le plaisir d'aller voir les tableaux de Munch en vrai.




Il est assez difficile de parler de ces deux capitales parce que mon chéri et sa famille ont eu la chance de faire plusieurs voyages dans les pays nordiques. Ils me racontent ces pays avec des étoiles dans les yeux depuis un certain nombre d'années.

Je vais donc, exceptionnellement, vous proposer un article assez bref de notre escapade dans les capitales scandinaves et laisser les expériences et anecdotes à ma belle-famille.
Mes 4 petits jours dans les capitales sont plus un cadeau que m'a offert mon amoureux que des expériences à raconter.

Du coup, je vais peut-être simplement me lâcher sur les photos et écrire peu. Chers lecteurs, un petit cadeau photographique aujourd'hui.


vendredi 12 juin 2020

Tour d'Europe étape 2 : 2 jours à Prague, l'une des plus belle ville du monde !


Aujourd'hui atterrissage dans une capitale où nous avons tout fait à pied.

Nous y avons passé seulement 2 jours et il a fallu faire des choix.

Nous sommes donc restés plutôt dans la vieille ville.

Encore une ville où l'on peut aller plusieurs fois et revenir avec des souvenirs différents.

Je vais vous parler des deux choses que j'ai le plus aimées dans cette ville où nous avons passé de très bons moments.



mercredi 10 juin 2020

Tour d'Europe étape 1 : 3 jours à Rome, la ville du cappuccino et de l'espresso !

C'est parti pour notre première étape de notre airtrip européen !

Vous l'aurez compris, la première capitale où nous avons atterri, c'est Rome !

J'ai parlé dans mon article précédent de notre aventure lors du vol.

Aujourd'hui, je parle de notre expérience dans cette ville pleine d'Histoire, où on profite de ma boisson préférée l'hiver et des glaces l'été.

 Comme pour le roadtrip en Espagne, lors de ce airtrip on a vécu de belles expériences.

Donc encore une fois, je ne vais pas parler de chaque ville en mode guide de voyage.

Je vais rester sur l'idée qu'il y a autre chose à partager que la liste des points d'intérêt, des bons restaurants ou des bon plan shopping.

Je suis une aventurière qui parle de ses expériences et ici, je vais vous parler de Rome à ma façon.

lundi 8 juin 2020

Aventure n°4 : une organisation assez marquante


Après le canoë, j’avais envie de vous parler d’une aventure dont l’organisation est assez marquante. Je voulais parler d’une aventure où on a pris l’avion. Cette fois, je pense qu’en tout, on a fait plus de 10h d’avion, mais pas de long-courrier. Oui oui, c'est possible!


Je fais un premier article pour expliquer parce que c’était un drôle de voyage.


lundi 1 juin 2020

Troisième aventure : les pagayeurs de la vallée de la Loire

Après ce moment Outre-Atlantique, je reviens dans notre joli pays qu’est la France. C’est vrai que ça fait moins tape-à-l’œil que New-York, mais cette fois je voulais mettre l’accent sur notre côté aventuriers, à mon amoureux et moi. Alors direction la vallée de la Loire pour 3 jours en canoë avec 2 nuits en bivouacs.



 



C’est une aventure qui nous a permis de profiter de vues imprenables sur les châteaux qui ont appartenu à la noblesse et à la famille Royale au temps des rois de France. C’était il y a très très longtemps !


Néanmoins ces châteaux sont, pour beaucoup, très bien entretenus et peuvent se visiter. Mais les visites culturelles, n’était pas le but de notre aventure cette fois-ci.


exemples de châteaux qui se visitent, en haut Chambord, en bas Cheverny et Chenonceau

Ah oui, qui dit bivouac, dit tente etc.

Sur le canoë on avait un bidon étanche d’environ 50L fourni et c’est tout !


jeudi 28 mai 2020

Deuxième aventure : New York City partie 2 - visites et gastronomie

Aujourd’hui, je finis de parler de notre aventure new-yorkaise en parlant des deux monuments et des deux expériences gustatives qui m'ont le plus marquée parce que, quand même, je ne pouvais pas faire un article sur New York sans en parler.


Côté visites, j'ai adoré faire la touriste : monter en haut de l’Empire State Building, aller voir un show à Brodway, passer un moment sur Time Square, entrer dans l’Université de Columbia et j’en oublie. Mais les deux monuments dont je vais parler sont des endroits, encore une fois, uniques et différents de tout ce côté propre, lumineux et spectaculaire que pouvaient avoir les autres. Ce sont de vraies expériences, des moments qui m’ont touchée.

mercredi 27 mai 2020

Deuxième aventure : New York City partie 1 - éléments marquants

Après le road trip, j’avais envie de vous parler de notre aventure en groupe en tout inclus. Vous savez, les voyages où tu reçois un programme et tu n'as rien à penser.

La formule ne nous plaisait que moyennement, mais vu prix et la destination, on a très très vite sauté sur l'opportunité. JAMAIS on aurait pu s’offrir 15 jours à New York City à 19 et 20 ans sans cette super offre.

Donc nous voilà partis direction New York, 6 heures de vol, premier long-courrier pour mon amoureux.



 Je sais que je me répète, mais je ne suis pas guide de voyage, donc je ne vais pas détailler le programme. J’ai plus envie de partager les expériences qui m’ont marquée

mercredi 20 mai 2020

Première aventure : le tour d'Espagne en fiat punto

Alors pour ceux qui ne voient pas trop une fiat punto c'était ça. Et avec ça, mon chéri et moi, on a fait ce trajet là, en 15 jours, en faisant des étapes de 3 heures par jour environ  :


On avait pas trop d'argent alors on dormait dans les campings pas cher sous une tente qu'on montait et démontait presque tous les jours. Pas question de prendre une tente 2 secondes de chez Décathlon, non, non, non ! On avait THE tente igloo avec arceaux et tout ! À la fin, on était des pros !


Bien sûr comme on est des vrai aventuriers, on avait réservé que le camping tout au sud de l'Espagne et le reste du temps, on cherchait sur l'atlas ou le guide du Routard (non non pas de smartphone à l'époque) et on arrivait à l'accueil du camping du coin. On a jamais eu de problème et on a toujours pu dormir pour pas cher.


On avait une glacière électrique pour ce qui est alimentaire et franchement, elle ne servait que le soir. Le midi, on trouvait toujours un bar à tapas ou un marché pour acheter de quoi manger pour rien du tout.


Alors, je ne vais par parler de chaque ville façon guide de voyage du type les points d'intérêts sont bla bla bla, les bons plans shopping, etc. ça ne m'intéresse pas et ce n'est pas ce que j'ai envie de partager.

Je vais parler aventure, et qui dit aventure dit aussi belles expériences. lisez la suite...

lundi 18 mai 2020

Réflexion n°2 : mes aventures improbables - explication

J’avais créé ce blog pour parler des anges, mais après ma réflexion sur l’Humanité, les actes désintéressés et bienveillants, qui m’a montrée que tout le monde, finalement, peut être un ange, s’il fait un effort.
Cette réflexion qui m’a appris que même les personnes, en apparence mauvaises, peuvent faire preuve d’une grande humanité à un moment donné.
Et surtout, cette réflexion qui m’a montrée que l’acte d’humanité ne se mesure pas puisqu’un tout petit coup de main au bon moment, peut apparaître comme le plus beau des actes d’angitude.


Aujourd’hui, je n’ai pas du tout envie d’abandonner l’idée du petit mot avec mon café. J’ai trop aimé écrire ces petits mots là.

Alors j’ai cherché une nouvelle réflexion qui me permettrait de continuer à faire vivre ce blog. C’est venu assez naturellement. Après ce moment où je parle des gens, j’ai eu envie d’espace.




Depuis le début, je mets pas mal de choses vécus dans mes articles. Je crois que j’ai envie de continuer.


Alors dans ce monde qui, aujourd’hui, est assez difficile à parcourir, avec ce mauvais virus (COVID-19) qui circule sans frontière, j’ai pensé que parler de ce monde et de ce que j’en ai vu de beau pourrait être une bonne idée.


Cette fois, je vais donc utiliser ce blog pour parler de mes aventures souvent improbables. Vous l’avez peut-être déjà compris, je suis assez curieuse du monde qui m’entoure et des gens qui en font partie. Alors, le temps d'un café, je vais vous raconter ces expériences, souvent internationales, que j’ai vécues, la plupart du temps avec celui qui partage ma vie depuis un certain nombre d'années.


Je sens que je vais devoir abandonner ma tasse préférée pour adopter le café local, mais c’est un sacrifice que je suis prête à faire



En attendant je profite de la fin de mon 2ème café du jour
pour vous dire à demain pour un premier café international.

Fin de réflexion sur les anges

Alors aujourd’hui, je conclus sur mes anges parce que j’ai envie de passer à un autre sujet.
Il en manque quelques-uns dont j’aurais aimé parler, mais je reprendrais peut-être le sujet plus tard. Tous les portraits que j’ai écrits ici sont des gens tellement variés que j’en viens à la conclusion que chacun d’entre nous pourrait, de temps en temps, faire un acte d’angitude.

Parfois, un simple sourire, une main tendue, une aide qui peut sembler quelconque peut faire toute la différence. Essayez et vous verrez qu’une fois l’action accomplie, on sent un petit quelque chose en soi qui donne envie de sourire. Je pense qu’on se sent humain tout simplement.

Je voudrais aussi terminer sur le fait que le terme d’ange ne viens pas de moi. Il m’est venu il n’y a pas si longtemps et je ne pouvais pas finir ma réflexion sans une dernière histoire d'ange 


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vendredi 15 mai 2020

Hadi l'ange libanais deuxième partie

Aujourd’hui, je vous reparle de Hadi, mon ange colocataire Libanais.

On a quand même partagé le même appartement pendant 6 mois et ne parler que de la guerre du Liban ça aurait été trop triste.
Non, avec Hadi, on a tissé des liens qui ont fait qu’il m’a un peu pris sous son aile, un peu comme un ange...

Il m’a emmené voir son université. Il était trop fier de me montrer où il étudiait et moi super contente de rentrer dans une université américaine!


Il m’a emmené à un de ses entraînements de foot. Vraiment, c’était juste naturel pour lui de partager ça avec moi alors qu’il ne me connaissait que depuis quelques semaines. Moi, j’appelle ça un ange. Totalement désintéressé, juste dans le partage de bons moments. C’était super !

Comme j’avais dû une fois dire que j’aimais la salsa, il m’a emmené dans un club un soir sachant qu’il ne danse pas à cause de sa blessure de guerre (voir café canadien n°1 ). Vraiment, il avait des attentions tellement bienveillante envers moi. Et une envie de partager tellement simple et facile!

Je me souviens aussi que le jour où je lui ai dit que je partais en week-end à Toronto avec Aline, il a eu peur pour moi. Il m’a dit de faire attention et de ne pas aller dans certains quartiers où je risquais de me faire agresser. Il m’a dit de prendre ma bombe de poivre avec moi au cas où. Vraiment un ange, un protecteur.

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mercredi 13 mai 2020

La responsable : ange sauveuse de campeuses et rencontre avec les plus gros animaux du monde.


Aujourd’hui, je prends mon café et je continue à parler de notre roadtrip avec Aline.

Nous avions donc quitter le groupe de Québec dans l’après-midi et le camping où j’avais réservé un emplacement pour notre tente était à 3 heures de route.
Direction l’océan et la pleine nature !

C'est beau !

On avait réussi à se faire prêter tout ce dont on avait besoin pour camper par les gens de l’entreprise. Le camping était situé juste à côté de la mer, avec plein d’arbre. Ça aurait pu être vraiment super si…
1. On n'était pas arrivé alors que la nuit était tombée depuis un moment. En même temps, on a un peu oublié l’heure pendant notre super journée à Québec alors à la limite, c’était un mal pour un bien.
2. Et là, c’est plus embêtant, il ne pleuvait pas des cordes et le sol n’était pas détrempé.

Alors on se regarde avec Aline et on se dit que là, on va pas trop pouvoir la planter, cette tente.
Bien sûr, vu l’heure, on n'avait pas d’autre solution que ce camping. Je rappelle que personne dans l’expédition n’avait de téléphone et que Booking ne nous aurait servi à rien puisque nous étions en pleine nature.
Dans des conditions comme celles-là, le système D est de rigueur. Sur le plan du camping, on repère qu’ils proposent des bungalow à la location et comme j’avais l’impression qu’il n’y avait pas beaucoup de campeurs, je propose à Aline d’essayer d’en négocier un avec le responsable du camping.
 

C'était plus ça le soir de notre arrivée...



Nous voilà donc toutes les 2 à l’accueil du camping, en train d’expliquer à l’hôtesse que là c’est vraiment pas possible, qu’on ne peut pas planter une tente dans des conditions pareilles et bla bla bla. Bref, on joue la carte des violons à fonds.

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lundi 11 mai 2020

Le CouchSurfing avec un groupe d'anges dans la ville de Québec

Aujourd’hui je bois mon café en prenant un peu plus mon temps. J’ai eu plein de choses administratives à faire hier donc pas le temps de publier. En même temps, je pouvais la jouer moins pressée.

Aline et moi avions réussi à obtenir une semaine de vacances auprès du chef d'entreprise!

On a décidé de louer une voiture pour aller faire un petit roadtrip :

étape 1 : la ville de Québec
étape 2 : camping en Gaspésie 
étape 3 : Montréal
étape 4 : retour à Gatineau, à côté d'Ottawa

Non, il ne neige pas tout le temps au Canada ! Au contraire, les étés sont chauds et secs d'où le camping! Bref.




samedi 9 mai 2020

Nils, l'ange nounours Outawais

Après quelque temps d’absence, me revoilà prête à reprendre ma série d'articles sur les anges. Aujourd'hui, je continue ma série d’articles sur les anges que j’ai rencontrés au Canada avec ma tasse de café et un petit peu de sirop d’érable sur une tartine grillée, histoire de se remettre dans l’ambiance.

Je vais vous parler de Nils.
Vous allez me dire, enfin un Québécois, et bien techniquement non, Nils n’était pas Québécois, mais Outawais puisqu’il vivait de l’autre côté du fleuve Ontario, à Ottawa même.

Ouaaah, la grosse nuance du passage d’un fleuve ! Et bien oui ça compte beaucoup pour un pays aussi grand que le Canada parce qu’en fait, le fleuve Ontario est la frontière entre la province de Québec où on parle majoritairement le français et l’Ontario où c’est l’anglais qui prime. Mais je ne vais pas faire un cours de Géo, c’est pas le sujet ici.



Parlons plutôt de Nils. Il ressemblait à un gros nounours : grand, la trentaine, le sourire tout le temps, barbe de 3 jours et parfaitement bilingue, comme tous les gens qui vivent à Ottawa je crois. Enfin, c’est un peu compliqué leur histoire.

Je l’ai rencontré parce qu’il était bénévole sur un événement culturel organisé par l’entreprise où je faisais mon stage. L’événement durait 4 jours, se passait sur la ville d’Ottawa et différentes animations étaient prévues.



dimanche 26 avril 2020

Café canadien n°3 : Gabrielle l'ange qui fait découvrir Ottawa et manger des queues de Castor ;)


Aujourd'hui, encore un café canadien avec une tartine au sirop d'érable. Oui je sais ça fait grossir, mais bon juste un tout petit peu.

Je vais vous parler d'une bénévole que j'ai rencontré lors d'un événement sportif organisé par l'entreprise où je faisais mon stage. Elle était chargée d'enregistrer les participants et de leurs remettre leurs dossards.
En fait, c'était la mamie bénévole qui participe depuis des années à l'événement.
Trop marrante avec ses cheveux bouclés blancs dans tous les sens, sa casquette à l’effigie de l'événement et son accent fortement marqué, je vous laisse imaginer.

Donc, Gabrielle, distribue ses dossards, etc. et puis quand elle a fini, elle vient au stand des bénévoles dont je m'occupais pour prendre un verre et manger un petit quelque chose. Elle a entamé la conversation en me disant "Ah, c'est ti toi la tite française cette année là !" Et c'était parti.


samedi 25 avril 2020

café canadien n°2 : Aline l'ange aventurière - épisode 1 : Toronto et les chutes du Niagara





Aujourd’hui, je reprends ma tasse de café avec un tout petit peu de sirop d’érable sur une tartine grillée histoire de se mettre dans l’ambiance. Ça sent super bon !

Je pense que je reparlerai d’Hadi dans un prochain article parce qu’il y en a quand même pas mal à dire sur lui, en dehors de ses aventure de guerre.

Aujourd’hui, je vais vous parler de Aline, encore pas une Canadienne, mais une Française. C'est l’une des premières rencontres que j’ai fait et elle est devenue mon acolyte d’aventures par la suite. Aline, c'est l'ange qui n'a peur de rien.

Pas très grande, très menue avec des cheveux hyper longs teints en roux. Un peu plus âgée que moi, elle avait un adorable accent toulousain que les Canadiens adoraient. Il faut dire que là-bas, c’est nous qui avons un accent exotique.

On s’est connu parce qu’on était stagiaires dans la même boite. Elle était attitrée au responsable des commanditaires (les sponsors pour faire simple) et moi j’ai eu droit à la coordination (l’organisation générale d’un événement) puis la gestion des bénévoles (le recrutement et l’attribution d’un rôle à chacun entre autres). Je ne vais pas expliquer ici quels sont les métiers de l’événementiel, il y a de très bons sites web pour ça.
Par contre, je vais plutôt parler de nos 2 ou 3 aventures qui sont beaucoup plus intéressantes.



vendredi 24 avril 2020

café canadien n°1 : Hadi, l'ange Libanais qui a connu la guerre

merci à ds_30 de Pixabay pour la photo des noodles ;)

Aujourd'hui, ça va mieux. J’ai récupéré de mon périple. Je peux commencer à vous parler des anges que j’ai rencontré au Canada.

Je vais commencer par celui qui m’a le plus marqué.
Jamais, en le voyant, je n’aurais cru qu’il avait vécu tant de choses.
Je vais vous parler de mon colocataire Hadi.
Hadi était un drôle de personnage, mais je crois que c’est l’ange qui m’a le plus marqué.

Il était grand et je crois me souvenir qu’il jouait au foot à ses heures perdues. La peau mat, les cheveux aussi noir que ses yeux et à peu près 10 ans de plus que moi.
Vous l’avez compris, mes premiers repas canadiens se sont composés de Noodles et de chocolat. Hadi mangeait à peu près aux mêmes horaires que moi et au bout de 2 jours à me voir manger mes nouilles instantanées, il a commencé à se moquer de moi, ou bien il m’a prise en pitié, je ne sais pas.

Toujours est-il qu’il ne faut parfois pas grand-chose pour découvrir un grand coeur. C’est grâce aux Noodles que nous avons commencé à discuter. Nous parlions exclusivement en anglais. Lui était Libanais et moi Française alors l’anglais était le plus simple pour communiquer.

Donc Hadi me voit manger mes pauvres Noodles et là, il entame la conversation. On se présente un peu l’un à l’autre. Il me dit qu’il est Libanais, qu’il est étudiant en ingénierie à l’université d’Ottawa et que les seuls mots qu’il connaît en français, c'était « merci » et « au revoir ». Moi, je fais de même, je lui explique que je viens d’arriver de France et qu’avec le jet lag je n’ai pas encore été voir où était le supermarché, d’où les Noodles pendant 3 jours.

Et là, acte d’angitude n°1 : Hadi me propose de m’emmener faire mes premières courses canadienne en voiture ! Il me dit que je vais sûrement avoir besoin de linge de maison, et que je vais pas porter tout ça à pied, etc. Imaginez ma tête ! (reconnaissance infinie)
Et nous voilà parti, dans sa belle Cadillac récente, pour le célèbre Wallmart (le plus gros supermarché américain). Je fais mes courses et nous rentrons.




mercredi 22 avril 2020

mardi 21 avril 2020

Café franco-canadien n°2 : les anges quand on voyage seule épisode 2

Encore un gobelet de café d'aéroport. J'ai un peu hâte de retrouver ma tasse ;)

Alors on continue le périple ?
Je m’étais arrêtée dans la salle d’embarquement où j’avais finalement réussi à accéder après déjà quelques aventures.

Donc on repart…

lundi 20 avril 2020

Café franco-canadien n°1 : les anges quand on voyage seule épisode 1

Bon alors aujourd’hui café dans mon gobelet, on est parti pour un périple dont je me souviendrai toute ma vie et au cours duquel les anges se sont manifestés plusieurs fois.

Il faut savoir que ce jour-là, j’ai dû, je pense utiliser tous les moyens de transport possible à part peut être le vélo.

Allez je vous la fais en détail, c’est juste drôle en y repensant :


Mon voyage auprès des anges canadiens : le contexte

GuHyeok Jeong de Pixabay
Cette semaine, je ne vais parler que de ces anges-là. J'avais besoin d’un petit remontant supplémentaire alors voilà, on quitte la France et on regarde de l'autre côté de l'océan.

Ce n’est pas un mythe, tous ceux qui ont fait des sciences sociales le savent : le Canada, ok il fait super froid l'hiver, mais c’est un pays HUMAIN.

Je ne prétends pas que c’est le seul, mais... Bon vous n'aurez qu'à commenter si vous n’êtes pas d’accord.

J’avais aussi pour principe de ne pas parler de moi sur ce blog, mais là, le temps d’un article, je suis un peu obligé de faire une exception. Vous allez comprendre.

Je pose le contexte et après, je ne parle « presque » plus de moi. ;)

Imaginez, une jeune fille de 21 ans tout juste, 1m50 les bras levés : moi.
Imaginez encore, on lui propose un stage de fin d’année de 6 mois en événementiel pour participer à l’organisation d’un événement sportif et de 2 festivals.
Et tout ça de l'autre côté de l'Atlantique.
Eh bien, ravie, je signe ! Pas de problème, quand on a la vingtaine, on ne mesure pas toujours les enjeux…


samedi 18 avril 2020

Ce weekend pas de café

Image par Ulrike Leone de Pixabay 
Je prépare pour la semaine prochaine une suite d'articles sur mes rencontres canadiennes.

Il me faut un petit temps de réflexion et de repos.

Promis lundi je publie un truc sympa.

En attendant ça fera bientôt 15 jours que je quitte mon lit. C'est une belle victoire. Merci à ceux et celles qui ont pris le temps de me lire.

Je profite de ce weekend sans café pour vous demander vos avis et conseils éventuels.

Holly

vendredi 17 avril 2020

Café n°12 Gilbert l'ange au canif


Je vous encourage, si c'est possible, à lancer la vidéo ci-dessus qui n'est qu'une bande son pendant que vous lisez mon article.





Mon café de ce matin est plein de soleil. Si si!


J'ai rencontré Gilbert lors d'un cours de salsa, cette danse qui donne le sourire et nous fait voyager. Quand c'est l'hiver en France et qu'il pleut ET qu'il fait nuit à 17h ET qu'il fait 5 °C, un peu de soleil ça fait toujours du bien.


Bref... Gilbert, grand, la soixantaine dépassée et les cheveux blancs, était l'un des meilleurs danseurs du groupe ; il faisait preuve d'une grande patience et d'une certaine pédagogie quitte à sortir du cours mettre un peu à l'écart avec une danseuse pour retravailler un mouvement où elle avait du mal. Franchement un ange. Et puis le prof avait l'habitude donc il ne disait rien.


Une fois, un membre du groupe m'a parlé d'un club où les danseurs se retrouvaient certains soirs et m'y a invité. Une robe et une paire de talons plus tard, me voilà toutes les semaines à passer des soirées latinos. Gilbert était, bien entendu, le roi de la piste et il ne manquait pas de m'inviter de temps en temps pour un merengue endiablé ou une douce bachata.


Et puis entre deux danses, on se posait avec certains membres du groupe et on discutait un peu autour d'un verre. Une fois dans une conversation, j'ai dit que j'allais partir faire ERASMUS en Espagne au mois de janvier suivant. Je devais avoir autour de 20 ans, je crois à l'époque.




jeudi 16 avril 2020

Café n°11 Haroun, l'humoriste à qui je dis "chapeau"

Aujourd'hui, encore un café artistique, mais sur un ange que je ne connais malheureusement pas personnellement.


Je vais vous parler d'un ange que certains d'entre vous connaissent déjà : Haroun.


Haroun, c'est un humoriste qui en a pas mal dans le cerveau et qui cultive la tolérance et la solidarité. Il se renseigne sur chaque ville où il se produit en allant parler avec les gens dans la rue pour parler à son public de ce qu'il connaît. Donc il s'intéresse à l'autre ce qui fait partie de l'angitude selon moi.


Mais il va encore plus loin : il offre librement ses spectacles sur le web !

Sa démarche est tellement belle : il propose au public de regarder son spectacle sur son écran et seulement ensuite, suivant qu'ils aient aimé ou suivant ce qu'ils peuvent donner, les gens "participent" en versant un montant libre sur le site. Donc, non seulement, il s'intéresse à l'autre, mais il s'intéresse à ce que l'autre pense... OK



Le site pour voir son spectacle en ce moment, c'est : https://pasquinade.fr/


Au final, selon moi, Haroun fait partie de ces anges qui cultivent l'art pour tous.



Je vais aller un peu plus loin parce que je crois bien qu'Haroun, en dehors de son métier d'humoriste, est aussi un ange en temps que personne.





mercredi 15 avril 2020

café n°10 Hery, ange Malgache musicien

Ce matin, encore un peu de douceur avec mon café.


Je vais parler d'un ange d'origine malgache ou comorienne, je ne sais plus. Un charmant jeune homme grand, les cheveux noirs de jais et la peau couleur de miel qui, désolée les filles, est homosexuel. Bref...

Je l'ai rencontré, je ne me souviens plus bien quand je l'ai rencontré. Je sais que c'était lors d'une formation de quelques jours que nous avons sympathisé.


On a gardé contact par la suite via les réseaux. Il me parlait pas mal de son groupe de musiciens et, en grande curieuse que je suis, je lui posait tout le temps plein de questions. C'est vrai, des gars semi-pro qui jouent sur des vraies scènes, c'est pas tous les jours que tu en rencontres.

J'ai vite compris que Hery, c'était un de ces musiciens qui jouent à peu près de tous les instruments et qui savent chanter aussi.

On parlait aussi de nos vies respectives, mais j'ai dit que ça c'est pas un sujet sur lequel j'ai envie d'écrire.


Au final, de façon tout à fait naturelle pour lui, cet ange-là m'a invitée, tous frais payés, à venir le voir en concert avec son groupe de l'époque...Et ouais !




mardi 14 avril 2020

café n°9 partie 2 des anges qui utilisent des bombes...de peinture ;)

Alors aujourd'hui, mon café a meilleur goût, mais je vais repartir en douceur.

Du coup, je ne vais pas parler d'un ange que j'ai connu, mais d'une bande d'anges qui agissent dans nos rues partout dans le monde.

Ils méritent leur place dans ma réflexion parce qu'ils apportent un peu d'humanité à nos sales rues.

Ils défendent l'art pour tous.

Ils refusent toutes les limites même celles de la loi.

Je les admire et les remercie d'exister. Certains l'auront compris, je veux parler des street-artistes.

Ces gens qui font passer des messages de paix en utilisant leurs stencils et leurs bombes de peinture.

Ces gens qui n'ont pas de règles autres que leur liberté d’œuvrer.



lundi 13 avril 2020

café n°8 un peu d'amertume aujourd'hui

Aujourd'hui, j'ai bu mon café avec un peu d'amertume. J'avais pas trop envie d'écrire parce que j'ai reçu des messages un peu décourageants.


Visiblement, le portrait d'Adama risque de gêner parce que je parle d'un homme noir et musulman. Je rappelle que je base ma réflexion sur les gens qui font preuve d'humanité et les actes désintéressés, gratuits et bienveillants qu'on peut observer si on regarde un peu ce qui nous entoure.


Donc j'étais un peu dégoûtée de recevoir une mise en garde sur le risque de remarques racistes.


Dommage parce que le portrait suivant était celui d'un Malgache homo, le suivant d'une Péruvienne un peu limite sur ses rentrées d'argent... J'aurais aimé parler de ces anges-là que j'ai rencontré personnellement et qui ont marqué ma vie par leurs actes bienveillants, mais je crois que je vais attendre un peu.


Je n'écris pas pour cultiver ma colère, ni pour soulever les foules.

J'écris pour retrouver ma foi en l'HUMAIN.


Les articles de la semaine prochaine seront donc je pense un peu plus espacés et surtout moins personnels.


Je ne finis pas mon café aujourd'hui. Il était pas bon. À demain. Peut-être...

dimanche 12 avril 2020

Café n°7 Adama, l'ange d'ébène, musulman extrémiste au grand coeur

Aujourd'hui, je bois mon café et je me suis rendu compte que de parler de gens qui ne sont des anges qu'un instant ne m'a pas apporté grand chose. J'ai failli abandonner l'idée alors je publie aujourd'hui le portrait d'un ange que moi, j'ai rencontré.



Je l'ai connu à la fac. C'était un jeune homme d'une vingtaine d'années qui arrivait directement du Sénégal avec de grands projets d'avenir. Il voulait entrer en politique et devenir membre du gouvernement sénégalais pour faire changer les choses.


Ce jeune homme, qui devait mesurer environ 2 mètres, tout mince au visage émacié avec sa magnifique peau noire d'ébène, est arrivé en France avec sa culture à lui et sans vraiment connaître la culture française. Personne ne l'a accompagné, il a dû s'adapter tout seul. À ce sujet la France

accueil : ZÉRO. Bref.


Ce garçon un peu perdu est devenu mon camarade de TD. Il se montrait curieux de tout alors je répondais à ses questions et c'est comme ça qu'on a sympathisé.


Déjà à l'époque, je trouvais qu'il avait un point de vue intéressant sur le monde et une grande bienveillance vis-à-vis des autres.

On a fait 3 ans d'études dans le même domaine et je pense que c'est un ange.


Ne trouvant pas de repères en France, il en a cherché ailleurs, dans ce qu'il connaissait et c'est comme ça qu'il s'est réfugié dans sa religion, la religion musulmane. Il s'y est tellement réfugié qu'il en est arrivé, je pense à un certain extrémisme. Mais jamais il n'a essayé de nous convertir, jamais il n'en a parlé plus que ça. Je l'ai remarqué dans ses actions. Par exemple, à un moment donné, il refusait de faire la bise aux filles alors qu'avant il n'y avait pas de souci avec ça. Quand je lui ai posé la question, il m'a expliqué que ce serait un manque de respect envers les femmes. Et puis on en a plus reparlé.


Quelque temps plus tard, on a pris un sandwich à la cafèt' (ouahou) de la fac entre 2 cours et il s'est trouvé que personne de la bande ne nous a accompagné. Alors j'en ai profité pour lui poser un tas de questions sur sa religion, moi athée ignorante que je suis, mais surtout super curieuse de tout. Il m'a répondu sans jugement, sans tenter de me convertir. Il m'a simplement parlé des principes qu'il appliquait.

Cette fidélité à ses principes, cette force de croyance, la bienveillance et la simplicité avec laquelle il m'a répondu ont fait que d'autres discussions de ce genre ont eu lieu par la suite.

Je qualifierais donc Adama de musulman extrémiste bienveillant.


Puis ce grand humain au grand coeur est peu à peu devenu une figure de la promo si bien qu'on l'a élu délégué des étudiants.


Pour finir sur cette belle personne, cet ange d'ébène, je voudrais parler d'un de mes plus beaux souvenirs le concernant. Une fois, l'amphi était blindé, c'est-à-dire environ 300 étudiants, et on attendait le prof. Et là, on a vu Adama, monter au pupitre, brancher sa clé USB au projecteur et est apparu un texte à l'écran.

et puis Adama s'est assis au pupitre et a commencé à chanter a capela dans le micro devant 300 étudiants qui l'ont ensuite accompagné. En fait, il ne s'agissait pas moins que de la célébrissime chanson pleine d'espoir et de force de notre regretté Bob Marley : "Rédemption Song".




 
(vidéo avec les paroles traduites en français au cas où)


Ce geste magnifique et marquant reste pour moi un grand moment d'angitude.


Après les 3 ans d'étude dans la même promo, j'ai changé de fac et perdu, Adama de vue. Je l'ai recroisé une fois, il avait poursuivi son rêve et il me semble intégré une grande école.


Comme quoi les extrémistes musulmans ne sont pas tous des terroristes.


Voilà, j'ai fini mon café. À demain.

samedi 11 avril 2020

café n°6 - Paris et les anges du métro parisien


Ce café du matin est l'occasion de reparler des anges du métro parisien. Ces gens qui commettent des actes de solidarité totalement gratuitement et spontanément et dont j'avais envie de parler pour me rappeler que oui le monde est pourri, oui, je suis dépressive, mais que l'espoir et l'humain existent toujours si l'on regarde bien.


Alors voilà, après les anges des escaliers et des escalators, j'ai promis d'être plus succincte aujourd'hui. De toute façon, je sens que ma motivation s'essouffle quand je pense au métro alors je continue et demain, je passerai à d'autres anges.


Donc les anges du métro parisiens : la suite

vendredi 10 avril 2020

café n°5 : Paris et les anges du métro parisien.

Mon café du jour fait suite au sujet d'hier sur Paris.

J'ai décidé, plutôt que de faire le portrait d'un ange parisien, de commencer par parler d'instants où chacun d'entre nous en croise sans vraiment les voir.

J’ai dit hier que j'avais choisi le métro parisien, pour parler des anges que l’on peut croiser si l’on regarde attentivement et qu’on prend 1 minute pour observer ce qui nous entoure.
 
photo de Denis Doukha

Alors c'est parti, on descend...

jeudi 9 avril 2020

café n°4 à Paris

Photo de Brodie Vissers


Photo de Brodie Vissers

Aujourd’hui, je bois mon café en pensant toujours aux anges et aussi à une ville que je connais un peu : Paris.


Quand on parle des Parisiens, on entend souvent « Parigot tête de veau ». Et bien moi je ne les mettrais pas tous dans le même panier. Parmi ces gens qui semblent toujours pressés ; dans cette ville où le temps est comme compressé tellement la vie va vite. Dans cette ville où on croit que personne ne regarde personne, que personne ne parle à personne et que chacun vit comme un « veau », un animal sans gêne et jamais content.


À leur décharge...

mercredi 8 avril 2020

ma réflexion sur les anges - café n°3

Aujourd'hui, je rentre dans le vif du sujet.

Vous l'avez déjà compris un ange au sens où je l'entends est humain.

Aujourd'hui, sur Terre, nous sommes plus de 7 milliards d'hommes et de femmes qui sont potentiellement des anges.

Alors comment savoir ? Comment les reconnaître ?











mardi 7 avril 2020

suite du début de réflexion - café n°2

J'avoue que ma description d'hier reste très vague...

Quelques précisions s'imposent.

Quand je vous demande si vous avez déjà croisé un ange, je ne parle pas d'un être lumineux, au mieux vêtu d'une grande robe blanche, au pire complètement nu avec tout ce qui va avec : des ailes de plumes blanches, une auréole au-dessus de la tête et tout le bazar. Ceux-là existent peut-être, mais ce n'est pas d'eux que j'ai envie de parler.

Non, moi, je veux parler des vrais anges. Ceux qui vivent parmi nous.


En fait, vous en êtes peut-être un sans le savoir.

Les anges dont je parle sont des humains. Des monsieur et des madame Toutlemonde qui ne se reconnaissent pas par leur couleur de peau. Ils peuvent être black, blancs, maghrébins, ou autre. Ils peuvent être des hommes ou des femmes ; ils peuvent ressembler à un vieillard ou à une petite fille. Riches, pauvres, entre les 2, pas d'importance.

Vous l'aurez compris, un ange ne se reconnaît pas à son physique.


J'ai fini mon café. On en reparle demain.






lundi 6 avril 2020

début de réflexion sur les anges - café n°1

Avez-vous déjà croisé le chemin d'un ange ? Je suis sûre que oui...Réfléchissez bien !

Un jour dans votre vie vous en avez forcément au moins vu un. Ils sont pas faciles à repérer, mais si on fait bien attention, on en voit plus souvent que l'on croit. Certains ne savent même pas qu'ils en sont. D'autres ne le sont qu'un instant, ceux-là reviennent ensuite à une vie normale d'être humain normal. D'autres encore le savent et cultivent leur angitude sans faire vraiment d'effort...

Alors ?

Toujours pas ?


J'ai fini mon café. À demain.