Le sujet du moment

Mon premier sujet de réflexion tournait autour des actes de solidarités désintéressés. Des comportements humains de certaines personnes que j'appelle des anges. J'explique ma démarche dans les cafés 1, 2 et 3.

Mon deuxième sujet concernera mes aventures improbables à l'internationale.

N'hésitez pas à commenter, partager et donner votre avis.
Merci
Holly

jeudi 9 avril 2020

café n°4 à Paris

Photo de Brodie Vissers


Photo de Brodie Vissers

Aujourd’hui, je bois mon café en pensant toujours aux anges et aussi à une ville que je connais un peu : Paris.


Quand on parle des Parisiens, on entend souvent « Parigot tête de veau ». Et bien moi je ne les mettrais pas tous dans le même panier. Parmi ces gens qui semblent toujours pressés ; dans cette ville où le temps est comme compressé tellement la vie va vite. Dans cette ville où on croit que personne ne regarde personne, que personne ne parle à personne et que chacun vit comme un « veau », un animal sans gêne et jamais content.


À leur décharge...


Il faut savoir que la plupart des « Parigots » vivent pour travailler. C’est une ville de l’efficacité, du fameux « Métro, boulot, dodo ».

Parlons-en d’ailleurs du métro, de cette machine sale où les gens s’entassent matin et soir ? Ce truc qui vit sous terre et qui se remplit et se vide à toute heure. Ces couloirs qui grouillent. Ce tube de ferraille où on s’engouffre sans un regard pour l’autre et dans le but de passer en premier parce qu’on a peur. Et oui, il nous faut à tout prix monter avant ce biiiiiiip insupportable qui annonce que les portes se referment. Alors qu’au fonds, il ne s’agit que de se rendre d’un point A à un point B et souvent de chez soi à son travail ou l'inverse...

Bref... Pas vraiment un endroit qui cultive l’angitude quoi.


J’ai donc choisi le métro parisien, cette « bétaillère » comme m’a dit une fois un conducteur que je connais, pour parler des premiers anges que l’on peut croiser si l’on regarde attentivement et qu’on prend 1 minute pour observer ce qui nous entoure. Je n’en donnerais que quelques exemples. Peut-être en verrez-vous d’autres.


J'ai fini mon café, je continuerai sur le sujet demain.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire