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Photo de Brodie Vissers |
Photo de Brodie Vissers
Aujourd’hui, je bois mon café en pensant toujours aux anges et aussi à une ville que je connais un peu : Paris.
Quand on parle des Parisiens, on entend souvent « Parigot tête de veau ». Et bien moi je ne les mettrais pas tous dans le même panier. Parmi ces gens qui semblent toujours pressés ; dans cette ville où le temps est comme compressé tellement la vie va vite. Dans cette ville où on croit que personne ne regarde personne, que personne ne parle à personne et que chacun vit comme un « veau », un animal sans gêne et jamais content.
À leur décharge...
Il faut savoir que la plupart des « Parigots » vivent pour travailler. C’est une ville de l’efficacité, du fameux « Métro, boulot, dodo ».
Parlons-en d’ailleurs du métro, de cette machine sale où les gens s’entassent matin et soir ? Ce truc qui vit sous terre et qui se remplit et se vide à toute heure. Ces couloirs qui grouillent. Ce tube de ferraille où on s’engouffre sans un regard pour l’autre et dans le but de passer en premier parce qu’on a peur. Et oui, il nous faut à tout prix monter avant ce biiiiiiip insupportable qui annonce que les portes se referment. Alors qu’au fonds, il ne s’agit que de se rendre d’un point A à un point B et souvent de chez soi à son travail ou l'inverse...
Bref... Pas vraiment un endroit qui cultive l’angitude quoi.
J’ai donc choisi le métro parisien, cette « bétaillère » comme m’a dit une fois un conducteur que je connais, pour parler des premiers anges que l’on peut croiser si l’on regarde attentivement et qu’on prend 1 minute pour observer ce qui nous entoure. Je n’en donnerais que quelques exemples. Peut-être en verrez-vous d’autres.
J'ai fini mon café, je continuerai sur le sujet demain.
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